Paix et miséricorde

Il me reste encore de l’encre
Pour te dire que tu me manques
Même si mes larmes sont sèches
Elles n’effacent pas nos flèches

Avril révélé

Aux notes pathétiques, choisir le bon mot
Nul recherche d’affection pour sécher mes maux
Offrir un coeur sans limite par pur bonté
La vrai beauté est là, nulle ambiguïté

Profiter des temps cléments de fausse grandeur
Renoncer aux dieux, sublime reine d’effroyeur
Mais qui ne sait donner ne saura que mendier
Car de même torpeurs tu devras t’amodier

Avril Apaisé

Se laisser surprendre au matin
Oublier l’avenir incertain
Le meilleur est toujours à-venir
A pouvoir Aimer sans se retenir